Dimanche 30 novembre 2008 à 18:20
J'ai pas trouver de quoi été fait le bonheur, non, mais je permet d'émettre des théories.
De confiance en soi, en les autres, en l'avenir, de sérénité, de doutes qu'on sait éradiquer ( ou du moins, flouter ), de savoir s'assumer, d'être entourer, d'aimer des personnes qui permettent de construire plutot que de détruire.
Impossible d'avoir tout ça ? Et alors, ai je prétendu que le bonheur était réaliste ? La plupart du temps, on essaye de l'atteindre, c'est deja pas mal. On essaye, et quand on atteint la chose qu'on a visé, une ressent une frustation trés trés long de la satisfaction qu'on pensait en tirer. Faut chercher ce qui a mal fonctionner alors. La passivité, c'est deja la mort.
Noter, c'est peut etre moi qui suis completement névrosé, victime d'une mauvaise intégration des valeurs, de telle façon que je ne peut atteindre le bien etre et la norme, et que mon ça prend le dessus de mon surmoi ( Ô Freud, je t'aime ).
Mais honnetement, si c'est le cas...
Mardi 11 novembre 2008 à 15:28
Un autre monde - Telephone
Orchestra - The Servant
Imagine - John Lennon
J'ai demandé a la lune - Indochine
Lullaby - Bedouin Soudclash
Hey Jude - The Beatles
Toi + moi - Tryo
No Women No cry - Bob Marley
Bonne soirée, perdez pas le nord.
Jeudi 9 octobre 2008 à 21:46
Dialogue de sourd :
- Jeuh saiiis pas quoi faiiiiiiiiiiiiire ! *voix gémissante du petit rasta dont le mafioso n'a plus de maracco*
- De ta soirée ?
- Nan, de ma vie. * voix gémissante + mine d'un chien attaché à un arbre sur la national au début de l'été*
- Ben, t'es pas obligée de choisir ce soir en meme temps...
- J'ai appris que j'était une substance pensante, confinée dans sa niaiserie ( comme tout eleve de 17/18 ans, oui parce qu'a d'a 17/18 ans, on réfléchit jamais, on se pose jamais de questions et on a forcement rien dans la tete. Forcement vu qu'on est jeune ! )
- Les cours de maths me donne des envies de m'enfuir en hurlant/ecrire une ode sur la porte de la classe/bouquiner en douce Stefan Zweig ou Christophe Honoré/me pendre avec un morceau des rideau accroché sur une jointure du plafond/rever a l'absurdité du lyçée et aux possibilités du futur ( rayer mention(s) inutile(s) )
- J'suis conduis si catastrophiquement qu'il est hythétiquement possible que je sois dyslexique calculique. Moi non plus j'sais pas ce que c'est =P
- J'gratte sur le papier de l'histoire ou de l'éco tard dans la nuit, pelotonnée dans la chaleur de ma chambre. Aaron ou Nicolas bacchus me tiennent compagnie, leur voix délicieuses grésillantes sur mon petit poste. J'aime cette sensation de vivre quand les autres dorment, grappiller des miettes de vies, voler quelques minutes à la routine implacable de mon train train.
- J'ai la tete plein de reves, de projets, d'envie de croquer la vie, d'aimer, d'etre aimée, de voyager, de découvrir. Une envie de vivre, VIVRE, un peu frustrée. Comment est ce qu'on fait pour vivre ? ( le premier qui fait référence a Descarte/Platon/Spinoza sera pendu haut et court sur la place publique )
Les minutes passent, la fatigue me guette, une synthése d'histoire m'attend, j'avais envie ou besoin de faire le point.
Une citation pour conclure :
*La vie est souvent joyeuse, parfois grave, jamais sérieuse*
recouvert non pas de graffiti ou de publicité,
mais d'arabesques étranges, de couleurs et de mots poétiques. Miam =)
Mercredi 17 septembre 2008 à 19:09
T'écris à la craie des poémes, dans la cour t'écrase patiemment toute les fourmis. Tu planque tes mains dans les poches pour qu'personne s'y accrochent. Du coup tu parle de déménagement, j'comprend qu'a 8 ans, il te faille du changement. Mais tu sais que t'es pas le seul a chercher, y'en a même qu'en font leur métier...
Ben non, j'sais pas ce qu'j'veux faire plus tard.
Ben non, je me souvenais pas qu'il faut embrayer avant d'accélerer.
Ben non, j'sais pas comment on la résout cette équation.
Ben non, non, non, non, non,
j'sais pas....laissez moi deux minutes, j'vais aller me pelotonner dans
mes bras de mon vieil ours en peluche, me cacher le visage dans sa
fourrure râpé, toucher son visages aux yeux-boutons arrachés. Comme une enfant, ce que j'suis encore un peu...pourquoi combien de temps encore, hélas ?
Lundi 8 septembre 2008 à 22:16
On a repris les cours. Nouvelle année, nouveau local, mêmes têtes. Les profs défilent. Nous parlent, remplisse nos agenda d'une foule d'ordre, a faire pour demain, pour vendredi, pour lundi prochain.
Oui j'vais bien. Oui, je profite bien de ma vie, oui j'ai une sorte de serenité en moi. Mais quand je croise un miroir, son reflet me suprend. J'y vois une fille qui attend, une fille qui hésite. J'y vois une (re)construction lente, fragile peut etre, je ne sais pas.
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