Lundi 18 février 2008 à 21:55



Bien le bonjour à toi, charmant être humain ( ou que sais je, chien , acarien, tournevis ou boite aux lettres, ne soyons pas discriminants ) lisant par hasard ces lignes blogiennes.
Figurez vous, que dans une élan de narcissisme ou de désarroi, je viens de me poser une question. Qu'est ce que je voudrais faire de ma vie ? dans ma vie ?
Réfléchissons.


Croiser plein de chemins. être plus communicative. Solidifier mon bonheur ( ou mon malheur, puisque aprés tout, c'est une façon d'etre heureux indirectement ). Trouver le trucs ou les personnes qui m'ferait me sentir sure plus de quelques heures d'affillé ( dans mes reves oui. Mon pire ennemi c'est moi meme sans aucun doute ). Rendre des gens heureux. Etre quelqu'un de bien. Ecrire. Sauver des vies. Rendre le monde meilleur. Ne pas perdre ma tendance à l'utopie. Faire partager des idées. M'engager. Comprendre la complexité de ce monde et l'esprit humain. Apprendre des millions de choses.






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J'aurai aimé te serrer dans mes bras, essayer de te protéger, Jue, poupée frêle, contre les démons qui dansent dans ton esprit. Te faire rire aussi, te découvrir chaque instant différente et pouvoir laisser aller cette si forte tendresse qui m'envahit a chaque pensée pour toi. J'aurai aimé passer ma main dans tes cheveux et on aurait fait bloc contre qui il t'aurai plu, j'aurai aimé les milles couleurs et mouvements qui aurait éclairé ton visage à chacun de ses moments. Oui, j'aurai  aimé infiniment chacun de  ses moments.
Je donnerais n'importe quoi pour pouvoir penser qu'ils sont possibles.
Mais toi...je crois que non.
Je me demande parfois si a tu a conscience que chacune des pensées que j'ai pour toi est teinté  d'une douleur, la douleur si terrible des marques d'indifférences.
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Mais la derniére nuit, quand il n'y aura plus que le noir oppressant et une sueur d'agonie qui maculera les draps, on me verra sans doute rouler des yeux affolés à l'idée de découvrir si ce monde n'es due qu'a un incroyable hasard. Ou non. Et si je découvre un dieu la haut, je crois que je pleurerais des larmes acide sur cet immense gachis en bas et sur les cadeaux empoissonés qu'Il aura confié a l'humanité. La conscience, la souffrance, l'intelligence. La souffrance ! L'idée d'une absence de dieu n'était pas plus rassurante que celle d'un dieu créateur d'un monde ou des enfants sont nées dans des camps, nés d'une mére violée par les nazis dans les bordels pour la seule cause de son originen juive ?
J'ignore quel idée est la pire, celle qu'il y a un Dieu la haut ou celle que nous somme  vouée a mourir et point final.
Il n'y plus d'étoiles dans le ciel

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[ Créon - Bien sur, tu ne sais pas. Tu en a de la chance ! Ce qu'il faudrait, c'est ne jamais savoir. Il te tarde d'etre grand, toi ?
Le Page - Oh oui, monsieur !
Créon - Tu es fou, petit. Il faudrait ne jamais devenir grand.  ]




Mais qu'est ce qui se passe dans nos
p'tites tetes ?
free music




Vendredi 15 février 2008 à 21:59


En cette journée des amoureux donc, après un oral de français très énormément pénible ( j'pense que tout les 1er ES ayant eu le bonheur de passer a l'oral et de constater a l'œuvre les méthodes de déstabilisation ( et éventuellement les idées quelque peu perverse, exemple :  la malheureuse élevé interrogé sur Le petit chaperon rouge, qui était sensé dire que le petit pot de beurre représente du lubrifiant O_o ) de notre cher et aimé prof peuvent comprendre mon désarroi ) Les nerfs à vif et même plus en sortant de cette fichu salle d'oral, heureusement, la cloche a le bon gout de sonner assez vite et zouuuuuuu, échappage du lycée sur mes petites jambes musclé, posage en façe de la cathédrale, et attandage des deux potos ( pour réutiliser l'une des merveilleuse expression de l'une des potos en question =p ) pendant une bonne heure, heureusement que j'm'balade jamais sans un bouquin de mon Lestatounet (L).

Arrivage des deux potos donc évoqué au dessus et gogogooooo parce qu'on est a la bourre léger. Heureusement, que la pauvre p'tite voiture, elle est encore capable de nous faire du 160 quand on la bouscule un peu ( et qu'on soit prets a séjourner dans un véhicule qui a tout du portable en train de vibrer :D ). On finit par atterir a Nantes, on prépare les questions trééés a la va-vite ( n'empeche elles assurent nos questions, yzon les mêmes à france 2 :D ), on met un temps avant de trouver la salle et on est accueilli par un bonhomme du nom de Yoan sehr sympatiche. On n'a qu'un 1/4 d'heure d'interview, inutile de dire qu'on file en loge vite fait r'trouver nos amis les fataux =) Lesdits fataux qui nous reconnaissent tout de suite et qui nous parle comme a de vieilles connaissances, trop jovial =). Laurent qui s'renseigne sur les habitudes de la jeunesse " Alors, vous écoutez tokio hotel ? et vous dansez la techtonick ? " " Haaaaaa Laureeeeeeent !" Installation sur la scène pour l'interview, vite bouclé, sont au poil, reste sérieux , partent un peu dans leur délires mais modérement ( "Donc Jean-Marc chante et moi j'me met au clavier", le pire c'est qu'il disait pas des connerie pour cette fois :D ou zencore avec " 51 + 52 Telé 102 !" que la chaine se devrait d'garder pour faire sa pub ^^)
Aprés quoi, on se doit de s'en aller rapidement, aprés une bizz a Paul, Laurent qui s'inquiète de not' santé "Ooh vous avez des p'tites mines "" Bah attend, c'est qu'on fout quelque chose au lyçée" :-p, Maya qui recherche du labello ( mais, Ô déception, aucun des fataux n'avait ça a disposition =p ), et Yves qui imite le train ^^ Taxée de peace and love becauz le War Is Over peinturluré sur mon jean =)
Regardage de l'interview de France 2....Youuuf, l'es insistant sur les bords l'journaliste et Paul qui défend chèrement la position du non non politiquement correct, du sens profond de partenaire particulier ( aidé vaillamant par Laurent : "Bah débloqué pas trop timide une bonne dose de savoir faire, c'est quand même quelque chose quoi" ) et de la philosophie de la vie ( attend, quand Paul fait d'la philo, ça rigole pu =).

Le public finit avoir le droit de rentrer, situation assez cocasse : Jean Marc devant la scène qui discute avec un journaliste, les filles qui attendait depuis un certain moment dehors débarque toutes folles a l'idée de voir le groupe et le reconnaisse meme pas :D La Maya retrouve une de ces copines, et hop hop hop, on va les retrouver un ptit quart d'heure avant le début du concert, juste devant la scene, Ô chance :-D. Les lumiéres qui s'éteingnent juste quand jme suis éloigné...pardon les gens, pardon, poussez vous un peu, faut que jretrouver les copines ^^
Les petites bourettes dans un premier. Fort sympa, dommage on comprend pas trop les paroles, juste assez pour comprendre qu'un certains nombre parlent de ruptures...Ô joie en ce jour de la saint valentin =D. Zon un coté "groupe de garçon" c'est normal d'ailleurs vu que c'est la cas, mais certains d'entre eux ont encore une tete de lyçéens, d'autre sont franchement pas moche, l'ensemble est ska fort pas désagréable. Le public bouge un peu, bref ça commence pas mal. Les petites bourettes finissent vite, et aprés une p'tite pose trés utile pour se réhydrater, nos cher fataux arrive et on voit tout de meme une trés nette différence d'ambiance : manifestement 99% des personnes présentes sont la pour eux ( certains trééés au courant qui crit : "Ivan ! Ivan ! Ivan !" Outtcchh, actualisez les gens =). Contraiement a ce qu'on aurait pu croire, les fataux fonctionne trés bien a quatre, on a meme l'impression qu'ils sont plus soudés qu'auparavant. Venant peut etre du fait qu'ils se passent plus la main, paul se met un peu a la guitarre et au clavier, Les trois autres chantent un peu, surtout Jean Marc ( sehr sehr sensuel sur le début de Djembé man :-D ), Laurent fait plus de blagounettes ( "et comme dirait tokio hotel : Ja!" ) et des faces à  faces avec Yves, miaamm ! Une longue playlist, certaines chansons revisités, un public trééés en forme, hahaa c'était quelque chose ! Paul qui pointe des gens pendant sa chansons dédié au public, maya et moi qui sommes épinglés a l'occaz : "comme d'habitude, yavais des gentils" "Avec toi avec qui j'ai passé la nuit' =D

Le concert s'termine, on attend patienmment que le stand des dédicaces se vide, malheureusement on est un peu...bousculés (RRrrrrr ) par les agents de sécurité...le bracelet jaune nous sauve un temps la mise, on trouve trente seconde pour se les faire signer "ha, c'est pour du body art ? bon je te marque je te kiffe de trop, jtldit parce qu'en fait c'est illisible". Les agents de la sécurité qui insistent, laurent ayant l'air agacé par lesdits agents, qui lui claquent le bec quelques minutes : "Elles ont des bracelets jaunes" haha :-D. Ils insistent : "vous comprenez, on doit laisser que les artistes, alors les deux filles la..." merci connard ^^ On finit par décamper, Maya trop dépité a l'idée de partir sans avoir vu Paul, heureusement qu'il arrive =p. Faisage de bises "passez vite en vendée!" "C'était bien au fait ?" "Haa, génial !!" Houhouuu j'vais pas m'en remettre comme ils sont adorables =D.



Mardi 12 février 2008 à 21:39




(...) Ses rêves en pleine lumière
Font s'évaporer les soleils,
Me font rire, pleurer et rire,
Parler sans avoir rien à dire. 





The Matters




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