Mercredi 26 décembre 2007 à 22:05





- Alors tu t'es bien amusée ?
- Comme ça.
- T'as vu le métro ?
- Non.
- Alors, qu'est-ce t'as fait ?
- J'ai vielli.


 
Bah, ça laisse songeur quand meme.
Pourquoi les adultes ont une vision aussi désabusé....de l'age adulte ?

Mardi 25 décembre 2007 à 12:03



Hug a toi, personne atterit on ne sait trop comment
sur ce pittoresque cowblog parmi prés de 190 324 autres

( Merci la demoiselle, effectivement, je me sens plus....instruite ;) )



Comment allez vous en ce jour d'anniversaire ? hé oui, il y a, mettons 2000 ans et des poussiéres, un sauveur de l'humanité ( selon ses dires futur )  naissait dans une écurie ou un lieu approchant, c'est fou n'est ce pas ? Bien sur, tout est relatif, mais je supose que je vais me faire taper sur les doigts par quelques personnes considérant un opinion négatif comme un avis "d'ado crétine cédant à une pulsion de haine" si je m'attarde à parler religion, dieu aveugle ou trop joueur, seul le hasard peut créer quelque chose d'aussi incroyable, irréalisme quand a determiner qui doit aller au paradis ou en enfer, ect ect.

Enfin donc, a défaut donc de feter l'antique arrivé d'un messie quelconque, on peut toujours se rabattre sur l'arrivé d'un utopiste/rebelle a tendance : sadomasochiste/communiste/pacifiste/grande gueule ( rayez mention(s) inutile ).




Bien bonne journée les gens =)





Mercredi 12 décembre 2007 à 22:01




Dans la vie, il y a deux sortes de gens :
- il y a ceux qui sont condamné a etre libre, qui n'en ont pas conscience,
et qui parfois ( souvent ? ) n'apprécie pas la vie.
- Et il y a ceux qui sont condamné a etre libre, qui en ont conscience et qui le savoure.






Mais on peut aussi considére que ceux qui  vive de façon fataliste sont peut etre simplement aveuglé par l'idée que la liberté se doit d'etre aporté sur un plateau d'argent ouvragé du 15eme siécle. Et que ceux qui savoure sont naif et peu connaisseur de la vie, ou encore que justement ils en ont pris plein la gueule et on s'en sortir non aigri, mais au contraire refforçé dans leur obssesion que c'est a nous de choisir et que personne ne nous dicte notre vie finalement.Que c'est nous qui nous la dictons et quand elle ne nous satisfait pas, on prefere dire qu'on a pas eu le choix. En meme temps, il est clair que l'égalité des chances est complétement illusoire et que, pire le contexte, c'est en fonction de son caractére qu'on est désaventagé. Mais nait-on avec un caractére bien précis, est ce le contexte qui détermine ledit caractére, ou il y a t-il une mustérieuse part de nous qui fait que justement on choisit, et que rien n'est determiné, car si il est bien quelque chose qu'on ne peut déterminer, c'est le degrés de liberté de chacun ? J'aurai tendance a pencher pour la derniére hypothése. Mais on peut considéré que toute personne qui ne se satisfait pas de sa vie, meme banale et minable n'est finalement pas assez poetique. En meme temps, les cyniques me diront qu'ils faut etre bien peu exigeant pour se satisfaire de n'importe quelle vie. Et je vous dirais qu'il est vrai que je m'étonne moi meme, avec mon coté si Antigone, de vous tenir pareil discours. Commencerais je à me faire à l'idée de la résignation ? triste...



Voila ce que ça donne de chercher a étendre sa culture pour un oral de français.

Jeudi 6 décembre 2007 à 21:58







"-  J'ai perdu mes lunettes, enfin j'ai pas voulu les mettre, elles me font une drole de tête, une tête de flamme...à lunettes. Je m'en fou d'y voir flou pour embrasser et chanter, j'prefére garder les yeux fermés.

 - Oh mon petit incendie, laissez moi croquer vos habits, les déchiqueter à belles dents, les recracher en confettis pour vous embrasser sous une pluie...

- Je n'y vois que du feu, en quelques pas seulement je peux me perdre au loin, si loin dans ma rue, que je n'ose meme plus regarder le ciel droit dans les yeux, je n'y vois que du feu.

- Je vous guiderai à l'extérieur de votre tête, je serai votre paire de lunettes et vous serez mon alumette.

- Il me faut vous faire un aveu , je vous entend mais je ne pourrais jamais vous reconnaître même assis entre deux petits vieux...

- On s'frottera l'un contre l'être a s'en faire cramer le squelette et à l'horloge de mon coeur à minuit pile on prendra feu, pas même besoin d'ouvrir les yeux.

- Je sais, je suis une flamme de tête, mais quand la musique s'arrête j'ai du mal à rouvrir les yeux, je m'emflamme allumette mes paupières brûlent de mille feux à en écraser mes lunettes sans penser à rouvrir les yeux. "





Dimanche 2 décembre 2007 à 14:37



A quoi ça rime finalement, ingurgiter un maximum d'informations en deux ans, etre gaver comme des oies, allez tout dégueuler devant un examinateur le jour du bac, avoir enfin la paix aprés. Enfin, la paix. Ne nous emballont pas : le moule des normes social nous attend, hélas au tournant. Mais ne soyont pas fataliste. Je suppose qu'on aura le choix. Essayons donc de ne pas faire un choix inconscient d'aller vers la façilité et le chaud. Essayons vraiment ne pas perdre notre part d'originalité, d'envie de tout changer, que deja tellement ont perdus.
Et puis aussi, avoir tout le temps le regards critiques des autres. Vive cette merveilleuse société, basée sur l'envie de se rehausser  ( et d'écraser les autres au passages ). Coller une étiquette, mépriser. C'est tellement rassurant, sans aucun doute. Faire des jolis sourires, et puis tirer dans les pattes. Je sais je suis peut etre trop Utopique, mais je ne sais pas, une société ou les majorité des gens serait un peu plus...ouvert, moins tourné sur eux meme et leur besoin de se rassurer, c'est vraiment trop demander ? ( Oui ? Ah bon, d'accord...)



Désolé, mais je sature.
J'ai envie de vivre, de bouger, d'avoir la sensation d'etre vivante, d'avoir l'impression d'exister, de pas etre une silhouette anonyme dans une masse.



On va aller se casser la voix et les muscles dans un concert. Ecrire des jolis mots en grand sur les murs à la craie rouge. Tomber amoureux d'un personne ayant une orientation nous correspondant. S'allonguer sur la route dans la nuit pour regarder la lune. S'enivrer de vin, de poésie ou de vertu ( ma foi, il y a que deux particuliérement attrayant dans le lot). Partir en Laponie ou en bretagne respirer l'air d'ailleurs. CHOISIR, PROFITER.
 On va essayer réinventer le quotidien, on va se mettre des coups de pieds au cul pour décrocher une vie à la hauteur de nos espérance. Non, c'est pas un métier sur et bien payé que j'attend. Désolé, c'est pas ça que je veux. Je veux rever, je veux pas qu'on tue mes reves, comme ça, petit à petit. Je les emmerde les voleurs de réves, les amoureux du concret. Si ça vous suffit une vie minable de metro-boulot-dodo, grand bien vous fasse. Moi je demande plus. Je hais le quotidien et les préocupations du train train.








Rémédier à la tenace sensation que quelque chose nous file entre les doigts, comme une eau qui goutte, et nos phalanges écarté et crispé qu'on croirais de pas reussir a rapprocher.


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