Dans la vie, il y a deux sortes de gens :
- il y a ceux qui sont condamné a etre libre, qui n'en ont pas conscience,
et qui parfois ( souvent ? ) n'apprécie pas la vie.
- Et il y a ceux qui sont condamné a etre libre, qui en ont conscience et qui le savoure.
Mais on peut aussi considére que ceux qui vive de façon fataliste sont peut etre simplement aveuglé par l'idée que la liberté se doit d'etre aporté sur un plateau d'argent ouvragé du 15eme siécle. Et que ceux qui savoure sont naif et peu connaisseur de la vie, ou encore que justement ils en ont pris plein la gueule et on s'en sortir non aigri, mais au contraire refforçé dans leur obssesion que c'est a nous de choisir et que personne ne nous dicte notre vie finalement.Que c'est nous qui nous la dictons et quand elle ne nous satisfait pas, on prefere dire qu'on a pas eu le choix. En meme temps, il est clair que l'égalité des chances est complétement illusoire et que, pire le contexte, c'est en fonction de son caractére qu'on est désaventagé. Mais nait-on avec un caractére bien précis, est ce le contexte qui détermine ledit caractére, ou il y a t-il une mustérieuse part de nous qui fait que justement on choisit, et que rien n'est determiné, car si il est bien quelque chose qu'on ne peut déterminer, c'est le degrés de liberté de chacun ? J'aurai tendance a pencher pour la derniére hypothése. Mais on peut considéré que toute personne qui ne se satisfait pas de sa vie, meme banale et minable n'est finalement pas assez poetique. En meme temps, les cyniques me diront qu'ils faut etre bien peu exigeant pour se satisfaire de n'importe quelle vie. Et je vous dirais qu'il est vrai que je m'étonne moi meme, avec mon coté si Antigone, de vous tenir pareil discours. Commencerais je à me faire à l'idée de la résignation ? triste...
Voila ce que ça donne de chercher a étendre sa culture pour un oral de français.
Ensuite tu entres le nom de mon blog : un-peu-de-lecture , puis le mot de passe Fraise-tagada (oublies pas le F majuscule )
Volààà =)