Lundi 22 septembre 2008 à 21:44






La vie serait-elle plus belle si l'on s'mettait a chanter tout d'un coup ?
Vidéo piquée sur son* blog =)

Mercredi 17 septembre 2008 à 19:09


T'écris à la craie des poémes, dans la cour t'écrase patiemment toute les fourmis. Tu planque tes mains dans les poches pour qu'personne s'y accrochent. Du coup tu parle de déménagement, j'comprend qu'a 8 ans, il te faille du changement. Mais tu sais que t'es pas le seul a chercher, y'en a même qu'en font leur métier...



Ben non, j'sais pas ce qu'j'veux faire plus tard.

Ben non, je me souvenais pas qu'il faut embrayer avant d'accélerer.

Ben non, j'sais pas comment on la résout cette équation.

Ben non, non, non, non, non, j'sais pas....laissez moi deux minutes, j'vais aller me pelotonner dans mes bras de mon vieil ours en peluche, me cacher le visage dans sa fourrure râpé, toucher son visages aux yeux-boutons arrachés. Comme une enfant, ce que j'suis encore un peu...pourquoi combien de temps encore, hélas ?


Lundi 8 septembre 2008 à 22:16




On a repris les cours. Nouvelle année, nouveau local, mêmes têtes. Les profs défilent. Nous parlent, remplisse nos agenda d'une foule d'ordre, a faire pour demain, pour vendredi, pour lundi prochain.
C'est pas que tout ça ne m'intéresse pas, c'est que j'ai un peu la tête ailleurs, comme dans un ouate douce qui me protége un peu. J'ai des chansons plein la tete, leurs voix me bercent, leurs mots pleins d'espoir se melent aux termes barbares et secs des professeurs.
Oui j'vais bien. Oui, je profite bien de ma vie, oui j'ai une sorte de serenité en moi. Mais quand je croise un miroir, son reflet me suprend. J'y vois une fille qui attend, une fille qui hésite. J'y vois une (re)construction lente, fragile peut etre, je ne sais pas.







Le courant keynésiens, Dégage de MAP, g(x)=-1/2+2x+8 , Chanson pour Pierrot de Renaud, le PIB souterrain, Poupée russe des tit nassels, La conférence de Yalta, Chanson-cri de Moustaki, Are speak in english during the summer ?, Les dictateurs des fataux, définition de la sagesse selon Comte-Sponville, Pleure pas de Romane Serda, calcul des probabilités de l'événement (A) ou (B), Chanson non engagé de Monsieur Pyl, bilan démographique de la seconde guerre mondiale, Jef de Jacque Brel...






Lundi 1er septembre 2008 à 13:41






J'ai vu, vécu beaucoup de choses cet été. Des belles, des moches, des profondément blessantes, d'autre qui donne envie de croire envie de l'humanité. Des retrouvailles ( la Hihaaaa attitude est née !), beaucoup de rencontres. Des fetes, des rires, des expériences. Massacrer des chansons. Sillonner autant que possible les concerts et festival du coin. Sauter dans les flaques, se faire éclabousser par les voitures. Marcher des kilométre pour le plaisir de redécouvrir qu'on a un corps. Faire copains-copains avec des gens. Des sympas, des marginaux, des chercheurs-de-merde, des amoureux de la société qui s'en cache ou crache dans la soupe. Partager une discution, une chanson, une cigarette, une bouteille ( vodka-malabar, Ô divination ^^), une partie de foot, un éclat de rire, découvrir d'autres modes de vie, apprendre a connaître, meme pour 5 minutes, quelqu'un.

Combien j'ai aimé mon été ! Combien des constrastes me sont apparu aussi. Serais je l'éternel insatisfaite, tennaillé continuellement par une tenance et inexplicable sensation de manque et d'absurde ? Le genre qui cherche de la compagnie quand elle est seule, la solitude quand elle est accompagné ? Oh oui, trop souvent je suis comme ça. Ce sentiment qui s'exquive parfois le temps d'un concert, d'un emerveillement, d'un amusement, remplacé par un autre sentiment, fugace et imprévisible, sensation sereine d'etre a ma place.


Mercredi 9 juillet 2008 à 21:31

"Surtout, soyez toujours capables de ressentir au plus profond de votre cœur n'importe quelle injustice commise contre n'importe qui, où que ce soit dans le monde." Che Guevara




La vie c'est pas façile, y'a des embuches, y a les mauvaises surprises, les gens sur lesquels on se trompe, les promesses qui sont dite et pas tenus, ceux qui te traite de con sans t'avoir jamais adresser la parole. Y a les mauvais moment, les reveils terrible avec l'euphorie de la veille disparu, les erstaz d'amour, les bras sans le coeur, y a les points d'interrogations gros comme ça, les absences de certitudes, les doutes qui finissent par ronger et rendre insupportable la compagnie des autres.
Mais qu'est-ce que c'est bon quand meme <3


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