J'ai vu, vécu beaucoup de choses cet été. Des belles, des moches, des profondément blessantes, d'autre qui donne envie de croire envie de l'humanité. Des retrouvailles ( la Hihaaaa attitude est née !), beaucoup de rencontres. Des fetes, des rires, des expériences. Massacrer des chansons. Sillonner autant que possible les concerts et festival du coin. Sauter dans les flaques, se faire éclabousser par les voitures. Marcher des kilométre pour le plaisir de redécouvrir qu'on a un corps. Faire copains-copains avec des gens. Des sympas, des marginaux, des chercheurs-de-merde, des amoureux de la société qui s'en cache ou crache dans la soupe. Partager une discution, une chanson, une cigarette, une bouteille ( vodka-malabar, Ô divination ^^), une partie de foot, un éclat de rire, découvrir d'autres modes de vie, apprendre a connaître, meme pour 5 minutes, quelqu'un.
Combien j'ai aimé mon été ! Combien des constrastes me sont apparu aussi. Serais je l'éternel insatisfaite, tennaillé continuellement par une tenance et inexplicable sensation de manque et d'absurde ? Le genre qui cherche de la compagnie quand elle est seule, la solitude quand elle est accompagné ? Oh oui, trop souvent je suis comme ça. Ce sentiment qui s'exquive parfois le temps d'un concert, d'un emerveillement, d'un amusement, remplacé par un autre sentiment, fugace et imprévisible, sensation sereine d'etre a ma place.
Gros bisous d'une Dame Saugrenue.