Mardi 13 juillet 2010 à 13:17
Il a fait une chaleur suffocante, à mourir, cette semaine là.
Mais le feu était dans mon corps, et le soleil meurtrier n'était que pâle en comparaison.
Le feu pantelant, comme une fièvre qui laisse épuisé.
Et puis le feu, ce feu tour à tour salvateur et destructeur, il fut jugé préférable de lui ôter les vivres. Le bois s'étiole, et de toute façon, les arbres sont morts.
Je suis rentrée de cette semaine la peau coloré, des couleurs étonnement déplacés, et comme un arrière gout de cendre sous la langue.
Commentaires
Par Mademoiselle-Coquelicot le Jeudi 15 juillet 2010 à 0:13
J'ai reconnu tout de suite ces dessins, ce style. Je l'aime tellement.
Ajouter un commentaire
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://skanarde-saugrenue.cowblog.fr/trackback/3018087