" Pauvre Créon! Avec mes ongles cassés et pleins de terre et les
bleus que tes gardes m'ont faits aux bras, avec ma peur qui me tord le ventre, moi je suis
reine !
Je te parle de trop loin maintenant , d'un royaume où tu ne peut plus entrer avec tes rides, ta sagesse, ton ventre. "
Je te parle de trop loin maintenant , d'un royaume où tu ne peut plus entrer avec tes rides, ta sagesse, ton ventre. "
C'est compliqué de devoir grandir.
Vous connaisez cette piéce ? "Antigone" d'Anouilh. Je l'ai lu recemment. C'est incroyable. C'est incroyable comme je ressemble a cette idéaliste, incroyable comment chacun de ses mots se repercute et se fondent dans mon esprit. C'est exactement ça. Et pourtant. Pourtant moi, j'ai fait le choix de ne jamais cesser d'y croire, de pas jeter cette vie sous pretexte qu'elle ne correspond peut etre pas a mes folles utopies. Et au contraire, d'y silloner pour de bon, d'explorer les possiblité. De ne jamais, jamais, jamais perdre ma sensibilité extreme, ma soif d'infini. Tout ça a la fois. C'est possible de vivre avec cette philosophie ? Si possible d'en etre heureux ? Cet accord etre sa concience et sa foi. Laquelle de nous deux est la plus lache, la plus courageuse ? Je n'en sais fichtrement rien, mais j'aime à croire qu'il est possible d'etre heureux, sans laisser de coté ses reves d'enfance, sans oublier son envie de vivre vraiment quelque chose. Meme si cela inclut que tot ou tard, il faudrat se résigner, ne serait-ce qu'un peu.
Parce que le jour ou j'aurai vraiment perdu mes envies tordue, mes désir de vivre extreme, ma capacité a souffrir, je pleurerais amérement d'avoir pu me trahir à ce point.
Et pourtant. Je comprend tellement le point de vue de cette demoiselle.
Vous connaisez cette piéce ? "Antigone" d'Anouilh. Je l'ai lu recemment. C'est incroyable. C'est incroyable comme je ressemble a cette idéaliste, incroyable comment chacun de ses mots se repercute et se fondent dans mon esprit. C'est exactement ça. Et pourtant. Pourtant moi, j'ai fait le choix de ne jamais cesser d'y croire, de pas jeter cette vie sous pretexte qu'elle ne correspond peut etre pas a mes folles utopies. Et au contraire, d'y silloner pour de bon, d'explorer les possiblité. De ne jamais, jamais, jamais perdre ma sensibilité extreme, ma soif d'infini. Tout ça a la fois. C'est possible de vivre avec cette philosophie ? Si possible d'en etre heureux ? Cet accord etre sa concience et sa foi. Laquelle de nous deux est la plus lache, la plus courageuse ? Je n'en sais fichtrement rien, mais j'aime à croire qu'il est possible d'etre heureux, sans laisser de coté ses reves d'enfance, sans oublier son envie de vivre vraiment quelque chose. Meme si cela inclut que tot ou tard, il faudrat se résigner, ne serait-ce qu'un peu.
Parce que le jour ou j'aurai vraiment perdu mes envies tordue, mes désir de vivre extreme, ma capacité a souffrir, je pleurerais amérement d'avoir pu me trahir à ce point.
Et pourtant. Je comprend tellement le point de vue de cette demoiselle.
Ca ferait un sujet de philo interressant ça....
( Non, non, moi je disais ça comme ça :p )
Je me vois obligée de m'arreté là, mon chat étant en train de bouffer mon atébas.
La banalité, l'absence d'utopie, c'est deja etre mort un peu.
J'ai rien perdu.
Par contre pour le sujet intéressant de philo on repassera s'teuplé ;)
Moi aussi je veux que mes utopies deviennent réalité... Ha!
MOUAH tout plein (k)!