Fondalement; il me semble légitime de s'interroger sur le fait que les objets qui composent ma vie quotidienne sont vraisembablement doté d'une vie propre, condition qui leur confére une possibilité de mouvement dont ils usent pour m'attaquer dés que je m'approche un peu trop prés d'eux. Et sournoisement, de telle façon que je suis la seule à me questionner sur la vie cachée des objets. Bande de fourbes.
Du point de vue plus pragmatique des personnes qui composent mon entourage, il suffirait que je retombe de mes nuages de temps en temps, et utiliser ce moment de terre à terre à évaluer la distance entre moi et les objets pour régler ce probleme, et non de céder à la tentation d'inventer des explications irrationnelle pour pallier le non sens de la vie, car la vie est souffrance dixit Shopenhauer, le monde est désenchanté d'aprés Weber, et Dieu est mort selon Nietzsche ( ce que a quoi Dieu a répondu "Nietzsche est mort", et force est de reconnaitre que cette analyse a fini, elle, par se révéler exacte au bout de quelque temps ).
Sinon, au cas ou n'auriez pas deviner, ou vous auriez su passer à travers les mailles harcellantes des médias, demain, c'est le bac de philo. Et aprés celui de math, et aprés celui d'anglais, et aprés celui d'éco, et aprés celui d'histoire géo, et aprés celui d'allemand. J'ai bien envie de dire, cool.
Sur ce. Je vais aller réviser. Ou me pendre avant que tout ce boxon ne commence, je me tate encore un peu. Et ceux qui seraient tentés de me faire judicieusement savoir que le boxon, en soi, a commencé il y a déjà un an avec les épreuves anticipés sont également invités a aller se pendre, pour le bien de l'humanité, enfin non, juste pour le mien, je m'en contenterai.
Chansonnette à celle qui reste pucelle *
Je ne t'aime plus mon amour *
Les piqures d'araignées *
J'ai 10 ans *