[ Damien Saez ]
Il y a ton sourire qui s'élève, c'est comme une lueur d'espoir.
Il y a l'ombre et la lumière, au milieu notre trajectoire. Il fallait
choisir une route alors on a choisi la pluie. Acide à s'en brûler le
cœur. Pourvu que planent les esprits. Il y a tes yeux qui me tuent
quand tu me dis que c'est fini, il y a le vent de nos sanglots qui
souffle pour une amnistie.
Mais
rien n'arrêtera la lutte rien n'asséchera cette pluie rien ne finira la
chute, rien ne finit l'infini, rien ne desserrera nos mains, rien
n'éteindra l'éphémère, rien ne desserrera ces poings.
Nous
forcerons nos destins puis nous percerons les mystères. Il y a les lois
de l'empire et les trous noirs dans ma mémoire. Il y a le meilleur et
puis le pire.
Combien tu vends ta liberté, dis combien tu vends ta poésie ?
Moi
j'ai même vendu mon âme au diable pour ton sourire. Puisque tout est
aléatoire dans le chaos des univers, et puisque insoluble est la
réponse et puisque déjà me manque l'air, et qu'importe les directions
jusqu'au delà de la limite. Tous les chemins mènent à tes yeux, tous
les chemins mènent à la fuite.
Les petits bouts de paradis
éparpillés sur terre.
Celui que j'avais choper
est en train de couler entre mes doigts
écartés, crispés.
Ferme tes mains, vite, vite.
Ne les écoute pas la prochaine fois.
éparpillés sur terre.
Celui que j'avais choper
est en train de couler entre mes doigts
écartés, crispés.
Ferme tes mains, vite, vite.
Ne les écoute pas la prochaine fois.
Oh, mais, ta gueule la petite voix.
Non. En fait, merci.
Putain j'ai TOUJOURS pas eu de mail je crois que l'échec de thérapie va être collectif! ;)
Bizouilles <3