Il me reste une cinquante de jours pour laisser libre cours a mes diverses boulimies. D'amitiés, de musiques, de lectures, de concerts. Entre autres.
Une cinquante de jours pour croiser les doigts et se bouffer les levres aussi.
Pour regretter une présence, y pallier par des mots. Epurés.
J'était au premier concert des francofolies hier. Avec Dick Annegarn, stupéfiant enfant de Brel. Et Vincent Delerm, personnage touchant dans ses portraits par petites taches de couleurs,et drole dans son ironie savante et impeccablement maitrisé. J'ai acheté en sortant, de toutes petites perles aux couleurs multiples.
Les feux de l'été, il y une semaine. Ambiance dans le camping moyenne. Bons concerts. Une drole de sensation de solitude, noyée dans la foule. Une excellente découverte musical, les voleurs de swing. Trois bonhommes qui propose des relectures de rock et de jazz, entre manouche, tzigane, et syldavien. Entre un coté vieillot soigné et une mordernité décoiffante, avec une énergie, un profesionnalisme, et un talent épatants.
Jacques * Théo *
Tes parents ( nouvelle version ) *, l'amour en fuite *
Depuis que je parle le syldavien...*
Samedi 11 juillet 2009 à 15:23
Jeudi 2 juillet 2009 à 20:23
Qu'il est bon d'avoir 17 ans ( et des tilleuls dans la tête ).
Mercredi 17 juin 2009 à 13:59
Fondalement; il me semble légitime de s'interroger sur le fait que les objets qui composent ma vie quotidienne sont vraisembablement doté d'une vie propre, condition qui leur confére une possibilité de mouvement dont ils usent pour m'attaquer dés que je m'approche un peu trop prés d'eux. Et sournoisement, de telle façon que je suis la seule à me questionner sur la vie cachée des objets. Bande de fourbes.
Du point de vue plus pragmatique des personnes qui composent mon entourage, il suffirait que je retombe de mes nuages de temps en temps, et utiliser ce moment de terre à terre à évaluer la distance entre moi et les objets pour régler ce probleme, et non de céder à la tentation d'inventer des explications irrationnelle pour pallier le non sens de la vie, car la vie est souffrance dixit Shopenhauer, le monde est désenchanté d'aprés Weber, et Dieu est mort selon Nietzsche ( ce que a quoi Dieu a répondu "Nietzsche est mort", et force est de reconnaitre que cette analyse a fini, elle, par se révéler exacte au bout de quelque temps ).
Sinon, au cas ou n'auriez pas deviner, ou vous auriez su passer à travers les mailles harcellantes des médias, demain, c'est le bac de philo. Et aprés celui de math, et aprés celui d'anglais, et aprés celui d'éco, et aprés celui d'histoire géo, et aprés celui d'allemand. J'ai bien envie de dire, cool.
Sur ce. Je vais aller réviser. Ou me pendre avant que tout ce boxon ne commence, je me tate encore un peu. Et ceux qui seraient tentés de me faire judicieusement savoir que le boxon, en soi, a commencé il y a déjà un an avec les épreuves anticipés sont également invités a aller se pendre, pour le bien de l'humanité, enfin non, juste pour le mien, je m'en contenterai.
Chansonnette à celle qui reste pucelle *
Je ne t'aime plus mon amour *
Les piqures d'araignées *
J'ai 10 ans *
Jeudi 4 juin 2009 à 22:04
Déjà du temps de mes amours vagues
J'étais sourd au fracas de leurs écumes
Et comme l'amour m'a toujours fait des blagues
J'dois être aveugle, je présume
Mardi 2 juin 2009 à 20:52
le silence c'est haïssable c'est comme si on existait plus enfincomme si on existait et qu'on était seul à le savoir l'absence c'est detestable c'est un vide qui n'a même pas le bon gout de s'accompagner de quiétude
J'attend comme j'ai toujours attendu parce qu'une petite voix me susure que je n'en plus le choix maintenant que le plus beau est aprés une jachère pendant qu'a mes tempes bat la sensation de rejet et la peur que ce soit une réalité et non une simple sensation
Au Conditionnel *
Papillons *
Song for lovers *